Abstract
Public policy initiatives, opinion surveys, and public rhetoric in Canada suggest people wish to die at home. Discourse analysis of statements, policies, reports, and websites of municipal, provincial, and federal governments show how public policy narratives reflect specific understandings of dying at home. Dying is positioned as best kept within the private “home” space. Though frequently framed as a choice, subtle rhetoric also prioritizes home as the ideal place for care at the end of life, and death. Home death preferences are naturalized as common-sense. Along with more nuance in policy communications, transparency in how evidence informs policy is needed.
Sommaire
Les mesures de politiques publiques, les sondages d’opinion et le discours public au Canada laissent entendre que les gens souhaitent mourir chez eux. L’analyse du discours des déclarations, des politiques, des rapports et des sites Web gouvernementaux au palier municipal, provincial et fédéral indique comment les récits de politiques publiques reflètent des compréhensions particulières sur le fait de mourir chez soi. La mort est préférable dans l’espace privé de la « maison ». Bien que souvent présentée comme un choix, une rhétorique subtile donne également la priorité au domicile comme lieu idéal pour les soins en fin de vie et le décès. Les préférences en matière de décès à domicile sont naturalisées comme du bon sens. Avec plus de nuances dans les communications de politiques, la transparence est nécessaire dans la manière dont les données probantes étayent les politiques.