Abstract
Many First Nations communities lack access to safe drinking water. In this article, we examine an under‐appreciated tool for improving First Nations water security – governance – and develop a framework for guiding the design and analysis of First Nations water governance models. In particular, we argue that three key ideas from the public administration literature – financial resources, regulation, and formalization – should be integrated with Indigenous insights and philosophies that are specific to each First Nations community. We illustrate how this might work by focusing on the insights, traditions, and philosophies of an Anishinaabek community in southern Ontario.
Sommaire
De nombreuses collectivités des Premières nations n’ont pas accès à une eau potable et propre. Dans cet article, nous étudions un outil sous‐estimé pour améliorer la sécurité et la gouvernance de l’eau des Premières nations; nous élaborons aussi un cadre propice à guider la conception et l’analyse des modèles de gouvernance du secteur de l’eau des Premières nations. Nous soutenons notamment que les trois concepts clés trouvés dans la documentation de l’administration publique – ressources financières, réglementation, et formalisation – doivent être intégrés en tenant compte de la lucidité et des philosophies autochtones spécifiques à chaque collectivité des Premières nations. Nous illustrons cette démarche en nous concentrant sur la perspicacité, les traditions, et la philosophie de la collectivité Anishinaabek du sud de l’Ontario.