Abstract
There is currently renewed interest in transnational education (TNE) amongst UK universities as a means of taking education to the 98% of tertiary students worldwide who are geographically immobile. In this discourse, the home universities are characterised as the dominant players, seeking strategic opportunities to commercially expand into foreign markets. This paper argues that, in contrast, there are four key stakeholders in TNE—the home university, the partner organisation, the host government and students in the host country—and a TNE partnership is shaped by their relative power and motivations. The paper finds that unless the motivations of stakeholders are broadly aligned to the form of TNE partnership, it is unlikely to succeed. It highlights the fluid nature of these motivations which change over time—often slowly, but sometimes abruptly when there is a change in university strategy or policy on the part of the host government.
Il existe actuellement un regain d’intérêt pour l’éducation transnationale (TNE) parmi les universités britanniques en tant que moyen d’offrir une éducation aux 98% d’étudiants de l’enseignement supérieur dans le monde qui sont géographiquement immobiles. Dans ce discours, les universités d’origine sont caractérisées comme les acteurs dominants, à la recherche d’opportunités stratégiques pour se développer commercialement sur les marchés étrangers. Cet article soutient qu’en revanche, il y a quatre parties prenantes clés dans TNE—l’université d’origine, l’organisation partenaire, le gouvernement d’accueil et les étudiants du pays d’accueil—et un partenariat TNE est façonné par leur pouvoir et leurs motivations relatives. Le document constate qu’à moins que les motivations des parties prenantes ne soient largement alignées sur la forme de partenariat TNE, il est peu probable qu’il réussisse. Il met en évidence la nature fluide de ces motivations qui évoluent avec le temps—souvent lentement, mais parfois brutalement lorsqu’il y a un changement de stratégie ou de politique universitaire de la part du gouvernement d’accueil.