Abstract
This article argues that reclaiming Indigenous housing sovereignty requires systemic transformation rooted in Indigenous governance, not adaptations to colonial frameworks. Centering a Quw’utsun Sleni’ perspective, it introduces a relational model of housing grounded in snuw’uy’ulh (teachings), kinship and community-led decision-making. Drawing on Indigenous research paradigms and using story as method, the article critiques Western housing interventions and outlines a phased policy roadmap for Indigenous-led renewal. Emphasizing relational accountability and self-determination, this article advances a model of convergence where Indigenous governance and planning principles form the foundation for sustainable, resilient and culturally grounded Indigenous housing futures.
Sommaire
Cet article soutient que la reconquête de la souveraineté autochtone en matière de logement nécessite une transformation systémique ancrée dans la gouvernance autochtone, et non des adaptations aux cadres coloniaux. Centré sur la perspective Quw’utsun Sleni’, il présente un modèle relationnel de logement fondé sur les snuw’uy’ulh (enseignements), la parenté et la prise de décision communautaire. S’appuyant sur des paradigmes de recherche autochtones et utilisant le récit comme méthode, l’article critique les interventions occidentales en matière de logement et présente une feuille de route politique par étapes pour un renouveau mené par les Autochtones. Mettant l’accent sur la responsabilité relationnelle et l’autodétermination, cet article propose un modèle de convergence dans lequel les principes de gouvernance et de planification autochtones constituent le fondement d’un avenir durable, résilient et ancré dans la culture en matière de logement autochtone.