Abstract
The public service faces two macro conditions that should be considered when tackling administrative and structural reforms: one, a growing lack of citizen trust in government and two, a view that the public service is increasingly irrelevant. While an ambitious public service reform agenda would require political support, tie up resources and potentially exhaust the institution, the cost of doing nothing may be greater than the cost of taking action to address the growing sense that the public service is not needed. A Clerk of the Privy Council led “Big R” reform initiative focused on long-term, sustainable and appropriate-to-the-times administrative and structural change should be pursued in three areas: improving government efficiency and effectiveness, responding to changing political expectations, and rebuilding trust and relevance in the institution.
Sommaire
Lorsqu’il s’agit de réformes administratives et structurelles, la fonction publique doit se confronter à deux conditions macro-économiques importantes : premièrement, un manque de confiance croissant des citoyens envers le gouvernement et deuxièmement, la perception que la fonction publique est de moins en moins pertinente. Alors qu’un programme ambitieux de réforme du service public exigerait un soutien politique, accaparerait des ressources avec le risque potentiel d’épuiser l’institution, le coût de l’inaction pourrait être plus élevé que celui d’agir pour répondre au sentiment croissant que la fonction publique n’est pas nécessaire. Un greffier du Conseil privé doit mener une initiative de réforme Big R axée sur des changements administratifs et structurels à long terme, durables et adaptés à l’actualité, qui pourraient être poursuivis dans trois domaines : améliorer l’efficience et l’efficacité du gouvernement, répondre aux attentes politiques en évolution et rétablir la confiance et la pertinence de l’institution auprès des Canadiens.