Abstract
Governments produce a steady stream of data, reports, and other information to ministers, legislators, and the public, and generate enormous flows of administrative data. In the digital era the flows of information generated by departments and agencies have expanded by orders of magnitude. The paradox, though, is that much of this information is never used, but many decision makers believe there is insufficient information to meet their specific needs at any time. This note focuses on two streams of reporting by departments and agencies in the Government of Canada informed by “open government” principles—the streams of information supplied via the Canada InfoBase and other reporting, and the Management Accountability Framework—and considers if they are accessible and useful. After setting out options for making them both more useful, this note argues it will inform the work of spending reviews, Parliamentary committees, and engagement with experts and citizens.
Sommaire
Les gouvernements génèrent un flux constant de données, de rapports et autres informations destinés aux ministres, aux législateurs et au public, ainsi que d’énormes quantités de données administratives. À l’ère du numérique, les flux d’informations produits par les ministères et organismes se sont multipliés par ordres de grandeur. Cependant, le paradoxe est que la majorité de ces informations n’est jamais utilisée, alors que de nombreux décideurs estiment ne pas avoir suffisamment d’informations pour répondre à leurs besoins spécifiques à tout moment. Cette note se concentre sur deux flux de rapports venant de ministères et d’organismes du gouvernement du Canada, et fondés sur les principes du « gouvernement ouvert »—les flux d’informations fournis via l’InfoBase du Canada et d’autres rapports, et le Cadre de responsabilisation de gestion—afin d’estimer s’ils sont accessibles et utiles. Après avoir présenté des options pour les rendre tous deux plus utiles, nous soutenons que cela conseillera le travail d’examen des dépenses, les comités parlementaires et l’engagement avec les spécialistes et les citoyens.