Une des plus significatives approches positives à la politique du changement climatique sur l’échelle exigée par le problème est celle de Giddens. Cet article étale des faiblesses dans son argument et découvre les motivations divergentes pour l’atténuation des émissions et la sécurité énergétique au Canada ainsi qu’en Nouvelle Zélande, contrairement à ce qui s’est passé en Europe du Nord sur lequel Giddens a basé son analyse. Ceci suggère que la réponse au changement climatique varie selon des structures culturelles et géophysiques plus profondes. Cet article examine aussi l’analyse coûts(risques)-bénéfices versus le principe de précaution, la directionnalité de la convergence politico-économique avec l’atténuation, et la partisannerie politique au sujet du changement climatique. Il démontre la complexité de faire converger les opportunités économiques immédiates avec l’atténuation du mal éloigné.
One of the most significant positive approaches to the politics of climate change on the scale required by the problem is that of Giddens. This paper uncovers weaknesses in his argument and reveals motivational divergence for mitigation and energy security in both Canada and New Zealand, which is opposite to what occurred in Northern Europe that provided the basis for his analysis. This suggests that the response to climate change varies according to deeper cultural and geophysical structures. The paper also examines cost(risk)-benefit analysis versus the precautionary principle, the directionality of political-economic convergence with mitigation, and political partisanship concerning climate change. It documents the complexity of making near-term economic opportunities converge with mitigation of distant harm.